Je n’ai jamais cessé de marcher
vers mes racines d’homme
sans sourciers, sans boussole
sauf ma colère puisée dans le poumon du peuple.
Abdellatif Laâbi
Je n’ai jamais cessé de marcher
vers mes racines d’homme
sans sourciers, sans boussole
sauf ma colère puisée dans le poumon du peuple.
Abdellatif Laâbi